AU SECOURS JE VIS AVEC UN/UNE BORDÉLIQUE

Qu’il est épuisant de rechercher son espace de vie lorsque le diable de Tasmanie vient souffler notre équilibre au moindre déplacement. Nous sommes face à l’impuissance la plus totale lorsque nous luttons contre l’environnement.

C’est dedans que se joue le théâtre de toute matérialisation, notre habitation n’est que le reflet de notre interieur, et l’autre, la manifestation d’une part de soi réprimée.

Si nous observons à la loupe la mascarade inconsciente, nous rencontrons le besoin de respect de son propre espace vitale. Ce besoin, comme un petit personnage, tire la sonnette d’alarme, car nous ne pouvons exister.

En réalité, cet espace est bafoué parce que nous ne nous respectons pas dans notre propre intérieur. Nous ne sommes pas au centre de notre incarnation et laissons à l’abandon cet espace intime qui nous permet de nous sentir exister.

Quant à notre congénère bordélique, miroir de cette part de soi réprimée, son étalement inconscient n’est qu’un appel de détresse maladroit : « J’existe »

Ainsi partir en quête de l’investissement de son propre soi, génerera l’effet papillon dans notre habitation. Nous amenons l’autre à investir l’harmonie tant recherchée.

Autrice : Elodie Rivero – Déclic & des Clés
Illustration : Elodie Rivero – Déclic & des Clés
www.declicetdescles.com

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